Toujours avides d’aventures et équipés de notre nouveau camion que nous avons aménagé, un vieux 609D de 1988, nous avions soif de découverte. Cette année nous ne voulions pas nous poser sur deux ou trois îles grecques mais vivre une petite expérience hors des sentiers battus ! Nous n’étions pas vraiment seuls à avoir eu cette idée mais notre choix était fait : nous partons faire le tour de l’Adriatique !

Le parcours était assez simple sur le papier:
- Départ de Lille
- Traversée rapide de la Belgique, du Luxembourg, de la Suisse
- Arrêts en Italie (Bologne, Fano puis les Pouilles)
- Ile de Corfou en Grèce
- Albanie par la côte
- Monténégro
- Croatie par la côte (un bout)
- Traversée rapide de la Slovénie, de l’Autriche, Suisse, Luxembourg et Belgique
Le départ
Fièrement équipés dans notre nouveau camion (on dit camionnette mais je préfère camion!) nous prenons la route direction l’Italie. Le voyage a commencé mais nous préférons ne pas nous attarder afin d’atteindre au mieux l’Italie qui pour nous représente le début du voyage. C’est un choix, nous aimons la chaleur, le dépaysement et nous le trouvons à travers ce pays !

ITALIE
Parma, Parme
La célèbre ville pour son jambon mais aussi et surtout son fameux « Parmeggiano », le parmesan, nous charme par sa petite taille ! En effet elle se visite aisément en une journée et sous ce soleil c’est un vrai régal ! Nous trouvons un spot sympa au bord de l’eau, les vacances ont vraiment commencées !






Bologna, Bologne
Nous atteignons Bologne, ville où une de nos amie italienne nous attend afin de nous faire découvrir sa ville. Nous nous garons à l’extérieur, dans une rue résidentielle car nous n’avons pas eu de bons retours sur les parkings dédiés aux « camping-car », et nous ne sommes pas friands de ce genre d’emplacement, entassés les uns à côté des autres.. Nous découvrons une magnifique ville italienne, où la couleur ocre domine, où chaque mur raconte une histoire. La ville est douce et agréable à vivre, nous nous installons sur une petite terrasse et dégustons la savoureuse cuisine italienne.. C’est deux mois plus tard que nous recevrons à la maison un courrier recommandé, venant des Pays-Bas (!) et qui nous informe non pas d’une, mais de deux amendes pour « pollution » dans la ville de Bologne ! 2 PV de 200€ chacun pour deux infractions à….2 minutes d’écart ! Autrement dit nous avons dû emprunter sans le savoir une rue interdite à notre véhicule diesel, et avons été verbalisé pour la même infraction deux fois en moins de deux minutes…Bravo l’Italie !






Polignano a mare, Puglia (Les Pouilles)
Nous longeons la côte depuis la ville de Fano, sur notre gauche un littoral bordé par la mer Adriatique… et un chemin de fer ! La route est monotone, les villes sans grand intérêt et nous décidons de continuer notre route jusque dans les pouilles, célèbre région « talon » de la botte italienne ! Notre premier arrêt se fait à « Polignano a Mare », cette ville blanche posée sur la mer. Quelle beauté ! Nous trouvons un parking face à la mer où se garer, la ville est facile d’accès. Une balade dans ces ruelles pavées, blanches, hors du temps. Un petit air grec à travers ces maisons posées à flanc de montagne ! Par contre nous oublions assez vite l’envie de nous baigner.. la plage est bondée, minuscule même si la couleur nous donne envie d’y piquer une tête ! De nombreuses criques le long du littoral auront vite fait de nous rafraîchir loin du tumulte estival, il faut s’y faire, nous sommes en plein mois d’août !






Monopoli
Si on y trouve pas le célèbre jeu de société, c’est pour le charmant port et les ruelles blanches que nous posons nos bagages ici ! Les remparts le long de la ville nous permettent de réaliser de jolies balades glaces à la main. Cette ville usée par la couleur du temps nous impressionne et à la nuit tombée c’est un bonheur de partager une table commune d’un restaurant typique, en plein centre et déguster tous les poissons frais du jour !








A la sortie de la ville nous découvrons de nombreuses plages privées et c’est sur un petit bout de plage privée (5€…) que nous nous poserons, spot parfait.




Ostuni.
Au loin nous distinguons une ville blanche, posée sur la montage, c’est Ostuni. Une vieille ville pleine de charme mais.. bondée en été ! Impossible de trouver un endroit où se garer, la ville étouffe littéralement sous le nombre de touristes…nous décidons d’y revenir un peu plus tard dans la journée et c’est le même constat…alors nous nous garons tout en bas et partons pour une randonnée d’une heure afin de découvrir cette ville qui a tant de succès ! C’est sur le littoral d’Ostuni que nous trouvons à nouveau un spot incroyable, seuls au monde les pieds dans l’eau.








Alberobello
J’étais venue il y a quelques années mon sac sur le dos découvrir cette magnifique région des Pouilles, et j’avais vraiment flashé sur cette curieuse ville qu’est Alberobello, autrement dit « la ville des trulli ». C’est donc tout naturellement que j’ai voulu la faire découvrir à ma famille, et le charme a fonctionné ! Malgré un ciel gris, la beauté de ces petites merveilles qui ressemblent à des maisons de lutins à conquis toute la petite famille ! Et c’est au soleil couchant, en dégustant une pizza dans un trullo transformé en restaurant que nous apprécions vraiment la « dolce vita »… Lien sur mon article complet sur les pouilles ici : « j’irais dormir dans les Pouilles«




GRECE
Ile de Corfou, Κορυφαί
C’est à Bari, en Italie que nous embarquons à bord d’un ferry à destination de Corfou. Pour une fois le trajet nous semble court , 10 h de traversée ! A peine arrivées le charme « à la grec » n’opère pas. Nous arrivons sur une grande île, qui semble surpeuplée. Et malgré la beauté de certains endroits nous ne serons pas convaincus par l’île.. peut-être devenons nous exigeants, mais Corfou ne représente pas ce que nous aimons en Grèce : le calme et le charme des villages pittoresque, les grands espaces naturels et les plages de rêve.. Le littoral est parsemé d’hôtels qui ont privatisé les plus belles plages de l’île. Il nous est quasiment impossible de nous garer en camion et encore pire d’y dormir. Très certainement en basse saison la tâche sera moins rude mais autant dire qu’en août c’est un véritable parcours du combattant ! Nous finissons par baisser nos armes et nous poser dans un camping sans charme mais qui bénéficie de la proximité de la mer à Ipsos. Ce sera donc notre point de chute pour quelques jours.. Point positif: nous retrouvons nos petites habitudes, tzatzíki, ouzo, café frappé, gyros, sardines grillés…au moins la nourriture nous réconcilie !






Notre coup de cœur fût pour « le canal d’amour », cette formation rocheuse qui laisse place à une très jolie plage et qui permet de faire des sauts spectaculaires dans la mer ! On peut également se recouvrir d’argile qui recouvre les parois et se faire un petit spa gratuit, les pieds dans l’eau ! Endroit très touristique, mais eau d’une limpidité et d’une chaleur juste incroyable.




Porto Timoni est une magnifique plage que l’on accède par un long sentier escarpé sur la montagne. La vue est spectaculaire, la plage est sublime mais….bondée. Pas un cm carré où nous poser et de surcroit avec des enfants, c’est l’enfer ! Ahhh le mois d’août….




Flâner dans la vieille ville de Corfou fût un moment fort agréable mais nous avons du dormir dans le parking camping car en plein centre ville, tout ce que l’on déteste… les ruelles sont pleines de charme, et cela vaut vraiment le détour, surtout en fin de journée quand les murs deviennent ocres et se parent des plus belles couleurs du couchant..




Nous décidons de quitter très vite Corfou, qui est peut être une très jolie île comme ses voisines Leucade, Zakynthos que nous avons visité il y a quelques temps (lien de l’article ici ), mais en pleine période d’affluence nous n’avons pas le courage de nous battre pour simplement flâner dans les rues ou découvrir de jolies criques. Même simplement se garer relève du parcours du combattant ! Nous décidons alors de rejoindre le port de Lefkimmi où nous passerons la nuit au calme afin de partir pour Paxos, île de rêve à quelques encablures.. sauf que le destin en aura décidé autrement ! Nous attendons sagement sur le port que notre ferry accoste, ils sont plusieurs ce jour là à déposer des touristes puis repartir aussi vite.. jusqu’à ce que, au vu de l’heure bien avancée, nous découvrons que le notre est parti depuis un moment déjà ! Nous ne l’avons pas vu arriver, il a accosté devant nos yeux et est reparti aussi vite ! Une chose est sûre, Corfou cette année ce n’était pas pour nous ! Nous décidons à contre cœur d’écourter notre séjour en Grèce et de vite rejoindre le continent à Igoumenitsa, afin d’entrer dans le prochain pays, l’Albanie.



ALBANIE

Dès le passage de la frontière on entre dans un monde d’un autre temps. Pourtant la Grèce est juste à côté mais on a l’impression qu’ici le temps s’est arrêté. La route commence par zigzaguer au milieu de la montagne avec des champs à perte de vue, on croise un vieil agriculteur sur son engin qui n’a plus d’âge.. Nous avons comme objectif la presqu’île de Ksamil, réputée pour ses plages semblables aux Caraïbes. Aussi ici on change de monnaie alors passage obligé au distributeur où nous découvrons nos « Lek » !


Nous accostons sur l’île par un drôle d’engin qui dès le départ n’a pas suscité notre confiance ! C’est après avoir vu passer un camping car en face que l’on a décidé de franchir le pas, l’expérience valait le détour.. heureusement ils acceptent les euros !


Ksamil.
Enfin nous arrivons à Ksamil.. Une station balnéaire chaotique, surpeuplée.. Les transats ont envahi les plages jusque dans l’eau, les magasins débordent sur les routes, les commerçants ambulants sont montés les uns sur les autres, les constructions d’immeubles balnéaires pullulent, les travaux cohabitent avec les touristes qui cohabitent avec des travaux.. le lieu ne fait clairement pas rêver. On décide de se poser à la sortie de l’île sur un spot face à la mer mais qui sera payant.. pas envie de rigoler ici, on paie et on ne profite pas des sanitaires qui laissent à désirer. On sent tout de suite que les habitants sont amicaux, qu’ils s’ouvrent au tourisme mais qu’il y a encore fort à faire.. Encore une fois, en arrière saison le lieu doit être plus paisible et on pourrait peut être enfin en profiter.









Nous décidons d’emprunter la SH8, route qui longe toute la riviera albanaise. Les paysages sont fantastiques, vertigineux, nous longeons des longues plages aux eaux bleu turquoise (nous y feront quelques haltes de baignades), allons manger quelques crêpes et grillades au bord de la plage dans les petites stations balnéaires (si on peut vraiment les appeler comme ça..). Un voyage hors du temps, la côte adriatique entre Vlora et Durrès est sublime.















Durrès.
Nous nous arrêtons dans cette grande ville afin de sortir un peu « des sentiers battus ». Garés dans le centre ville nous essayons avec beaucoup de mal de rejoindre la plage, cachée par un véritable rempart de buildings hôtels.. Une fois l’endroit découvert c’est une succession de restaurants de plages / transats qui inondent le littoral. Nous marchons tranquillement vers la mer afin d’y faire trempette et c’est à ce moment là que nous nous ferons violemment interpeler ! Un gars nous intime de partir, car nous comprenons que nous n’avons rien à faire ici (nous n’avons pas de transat?) et que de surcroit nous n’avons pas le droit de mettre les pieds dans l’eau ! Scène surréaliste car nous sommes juste des touristes face à la mer en train de prendre des photos.. c’est donc avec des enfants déçus que nous sommes refoulés vers la ville.. Nous noierons notre chagrin dans une bonne assiette de grillades, spécialité locale ! C’est devenu un véritable business ici, une nouvelle manne qu’est le tourisme et nous pensons réellement que tout est vraiment très mal géré.. cela ne donne véritablement pas envie d’y venir en semaine tout compris, dans leurs hôtels buildings.









Shkodër
C’est sous l’orage que nous arrivons dans la ville de Shkodër, située à la frontière du Monténégro sur les rives du lac Skadar c’est aussi ici qu’est née notre chère Mère Thérésa. Fondée il y a de cela 2000 ans, c’est la 5ème plus grande ville du pays, et flâner dans son centre ville et y découvrir des maisons de pierre du 19ème siècle est un vrai régal ! On y découvre la majestueuse tour de l’horloge, la citadelle de Rozafa et d’autres édifices religieux.








Sincèrement nous reviendrons découvrir l’Albanie. Le fait de décider de ne faire que le littoral fût une très mauvaise idée, et par manque cruel de temps nous ne sommes pas allés dans l’arrière pays qui recèle des trésors. Cela peut donner au prime abord une mauvaise image de l’Albanie mais au contraire, nous retenons une population chaleureuse, accueillante, et des endroits qui, en dehors de la saison touristique doivent révéler toute leur beauté. Je ne pourrais que vous conseiller d’y venir hors saison, en voiture de location et de vous laisser porter. Ici un super article qui va vous faire saliver !



MONTENEGRO
Ulcinj.
Nous atteignons une nouvelle frontière et pas des moindres, celle du mythique Monténégro. Nous commençons le voyage par un stop dans la ville balnéaire de Ulcinj. La ville est calme, il y a du monde mais l’ambiance diffère incontestablement de celle de l’Albanie. Nous nous baladons le long du port puis flânons à travers la vieille ville médiévale fortifiée, Ulcinj à été fondée au 5ème siècle AVJC et est onc la plus ancienne ville de la côte adriatique ! A travers ses églises, ses élégantes maisons, ses places et ses escaliers de pierres avec toujours une vue spectaculaire sur la mer. Un petit tour au marché couvert afin d’y découvrir les nouvelles spécialités locales ! Bref, ce premier aperçu nous plait et nous apprécions ce délicieux moment..









Plage près de Budva
C’est sur le littoral peu avant Budva que nous irons nous poser, spot bien agréable face à la mer (mais stationnés sur le parking).






Sveti Stefan (Saint Stéphane)
C’est en roulant que nous découvrons cet îlot relié par une petite route piétonne et qui borde deux plages, c’est le village de Sveti Stefan. Ancien village de pêcheurs fortifié qui date du 15ème siècle, il est construit sur un îlot rocheux reliée à la côte par un étroit band de sable. Arrêt photo obligatoire tant le lieu est photogénique !

Les bouches de Kotor, merveille de l’humanité classée à l’UNESCO
Nous étions venus pour ça, le plus long « fjord » de la méditerranée, et les bouches nous ont révélé toutes leurs beautés. Une seule et unique route longe la baie, traverse de charmants villages, propose des baignades dans des criques à l’eau cristalline (mais fraîche!), cette baie est simplement incroyable ! Nous l’avons arpentée en deux jours avec une nuit au meilleur endroit qu’il soit, un bout de plage à Kotor où nous embrassons une vue impressionnante sur la baie, à peine à cinq minutes à pied du vieux Kotor. En plein été la baie était bondée mais nous avons pu circuler aisément, et les différents points de vue donnent réellement l’envie d’y rester bien plus longtemps !
Il s’agît en réalité d’un canyon submergé long de 30 km. La baie de Kotor est composée de quatre golfes intérieurs Risan, Perast, Kotor et Tivat. Elle habite un patrimoine naturel et architectural incroyable.










Kotor, la veille ville
Ville médiévale qui a souffert du séisme de 1979, Kotor est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et elle est entourée d’une impressionnante muraille. Nous ne sommes pas allés en haut du château où la vue semble-t-il époustouflante !









Perast
Petite merveille du Monténégro, ce petit village de pêcheurs nous permet de déguster une petite glace les pieds dan l’eau. Paisible, avec une vue toujours aussi incroyable, on se balade le long des palais et de nombreuses églises qui témoignent de l’influence italienne.







CROATIE
Et c’est par un bouchon de près de deux heures que nous franchissons la frontière Monténégro-Croatie; en effet la proximité des bouches de Kotor favorise le flux des voitures quotidiens et nombreux sont les touristes en vacances balnéaires à Dubrovnik ou à Split qui viennent ici le temps d’une seule journée.. Notre route continue donc sur la côte escarpée croate, avec toujours une vue spectaculaire sur l’Adriatique. C’est à Dubrovnik où nous poserons nos valises (ou plutôt notre camion) dans un camping hors de prix ! Après de longues recherches il s’avère que le camping en pleine nature n’a pas sa place ici et les campings profitent de ces touristes ambulants pour pratiquer des tarifs exorbitants.. il a bien changé le temps où le camping était bon marché en Croatie (je suis venue en 2013 lien article ici ) et nous le remarquerons tout le long de notre (court) séjour croate..



Dubrovnik
Du camping situé à l’extérieur de la ville nous empruntons un bus pour rejoindre la cité fortifiée. J’étais déjà venue il a quelques années, passer trois semaines en sac à dos à arpenter les côtes croates, et j’en avais gardé un très bon souvenir ! La balade sous cette chaleur suffocante s’avère plus difficile que prévue et nous décidons de ne pas aller sur les remparts qui pourtant offrent le plus beau des points de vue. C’est en cherchant des coins d’ombre que nous découvrirons la vieille ville, toujours aussi charmante même en haute saison.







Split
A la demande des enfants nous décidons de nous poser dans un camping avec piscine et d’y rester un peu plus longtemps. La route et les visites c’est bien, mais ils ressentent le besoin de se poser un peu. Nous sommes à l’écart de la ville et un bus nous y emmène en 45 minutes, c’est de nuit que nous la découvrirons, beauté de l’Adriatique. Je me souviens de la presqu’île de Trogir, mais nous ne prendrons pas le temps de la découvrir !
Lien article complet Croatie ici :






Notre choix de ne faire que l’Adriatique nous a quelque fois frustrés, car par manque de temps nous avons du éviter certains endroits ou écourté d’autres. En Croatie par exemple, où j’avais passé un séjour de rêve en 2013, je ne garde que des merveilleux souvenirs de ces îles de rêve et j’en parle dans cet article complet : faire du camping en Croatie.
Parc national de Krka.
C’est le cœur serré que nous continuons notre route à travers ces paysages magiques et commençons la remontée vers la France. J’insiste pour que nous nous arrêtions aux fameuses chutes du parc national de Krka et toute la famille sera conquise. Toute, sauf peut être mon téléphone qui finira au fond du lac.. Paix à son âme !




Une dernière nuit en Croatie, seuls au bord d’un lac pour le souvenir d’un long voyage fatiguant mais exaltant et si enrichissant…



La remontée continue sous la pluie à travers la Slovénie, l’Autriche où nous passerons une nuit et enfin le Luxembourg et la Belgique. Deux jours pour regagner le Nord.
Le bilan de ce voyage est mitigé. Bien sûr que nous avons eu les yeux plus gros que le ventre. Bien sûr que nous avons loupé beaucoup d’endroits certainement magiques. Mais l’expérience à elle seule vaut d’être vécue, et nous garderons en tête tous ces paysages si incroyables, ces routes phénoménales, ces plages de rêve, ces villages pittoresques… Nous reviendrons, mais cette fois ci avec plusieurs mois devant nous !
Le voyage pour moi, ce n’est pas arriver, c’est partir. C’est l’imprévu de la prochaine escale, c’est le désir jamais comblé de connaître sans cesse autre chose, c’est demain, éternellement demain. Roland Dorgeles.*










Bonjour Merci pour votre partage d’expériences 🥰
Combien de temps avez vous pris pour faire ce voyage ?
Merci !
Marie
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Bonjour, Nous sommes partis 3 semaines et c’était vraiment beaucoup beaucoup trop court….Il faut au moins 2 mois pour en profiter !
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Bonjour, nous avons voyagé 3 semaines pour ce trajet mais définitivement trop court.
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